Invité sur le plateau de l’émission Objection, le patron d’Africa Jom Center s’est exprimé sur la probable candidature de Macky Sall en 2024.
Selon Alioune Tine, « le troisième mandat n'existe pas dans la constitution car nous manipulons le droit, les institutions en empoisonnant nos démocraties et nos institutions »
Il invite le président à respecter les convictions pour lesquelles il s’est battu contre le président Wade en partant une fois son deuxième mandat terminé montrant ainsi le bon exemple. « En effet la mauvaise foi, l'instrumentalisation du droit des institution, ont pour conséquences: les conflits, des morts d'hommes, la mort des libertés collectives et individuelles. Des mauvaises habitudes a délaissés », a mis en garde le droit de l’hommiste.
Alioune Tine a également déploré la fragilité des institutions. « Les organes de régulations ne jouent plus leurs rôles. Ils permettent d'avoir des autorités impartiales, non partisanes, des institutions indépendantes, impartiales, qui quand elles disent qu'untel a gagné les élections les gens puisent les croire de bonne foi », indique-t-il.
Selon Alioune Tine, « le troisième mandat n'existe pas dans la constitution car nous manipulons le droit, les institutions en empoisonnant nos démocraties et nos institutions »
Il invite le président à respecter les convictions pour lesquelles il s’est battu contre le président Wade en partant une fois son deuxième mandat terminé montrant ainsi le bon exemple. « En effet la mauvaise foi, l'instrumentalisation du droit des institution, ont pour conséquences: les conflits, des morts d'hommes, la mort des libertés collectives et individuelles. Des mauvaises habitudes a délaissés », a mis en garde le droit de l’hommiste.
Alioune Tine a également déploré la fragilité des institutions. « Les organes de régulations ne jouent plus leurs rôles. Ils permettent d'avoir des autorités impartiales, non partisanes, des institutions indépendantes, impartiales, qui quand elles disent qu'untel a gagné les élections les gens puisent les croire de bonne foi », indique-t-il.
Autres articles
-
68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030
-
Situation du Sénégal : « Ousmane Sonko est aussi bien responsable que le Président Diomaye », selon Ahmeth Diallo, leader « Gox yu Bess »
-
La France et le Sénégal veulent un « partenariat rénové », selon l’ambassadrice Christine Fages
-
Décret renforçant la Primature : " Diomaye et Sonko veulent contrôler tout le pouvoir" (Ahmeth Diallo)
-
Cédéao : stabilité politique et sécurité au cœur du sommet ouest-africain




68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030


